QUAND ON S'ENFLAME POUR UNE IDEE MAIS QU'ON EST PAS SURE …

Résumé de l’épisode précédent : La démission, c'était fait mais le projet futur restait à trouver … (pour lire le #1 épisode ici)

La grande œuvre vestimentaire commençait à prendre forme et plusieurs fois, des inconnues, dans la rue, avaient remarqué certaines des tenues. A ce moment-là, énorme joie dans le cœur, dans la tête (passion BIBIE). 

 

Alors pourquoi ne pas créer une marque de vêtements ?

 

ON TENTE D'ACCEPTER L’IDEE.

BAH NON EN FAIT !!! L’idée était séduisante mais tellement impossible. Comment créer une marque de vêtements alors qu'on a ni compétence dans le domaine, ni expérience? Encore une fois, la grosse machine infernale se remettait en route et elle était coincée sur le mot IMPOSSIBLE. Ah ce mot, le doux son du rabat joie qui vit dans nos têtes. C'est étrange, c'est toujours lui qui se réveille en premier alors qu'on pourrait entendre une voix malicieuse mais ferme qui nous dirait : "Excellent. Allons-y".

Finalement, à force de crier, cette petite voix positive a fini par se faire entendre. Après tout, il faut avancer, faire des choix, mettre ses peurs de côté (même si elles sont nombreuses), surmonter les défis et aller de l'avant. Alors un jour, LEITA est née (juste dans la tête de Chloé). Ici, on a une expression favorite "ON LE DIT, ON LE FAIT". Alors on l'a fait !

 

La première pièce fabriquée avec patience et courage.

 

ON FORMALISE TOUT CA.

Bon, une fois que l’idée était là et qu’elle était acceptée (enfin presque!), rien n'était gagné mais en tout cas on allait tout donner pour y arriver (vraiment tout!). Alors, on a commencé par lister des idées, les organiser, tout effacer, revenir en arrière et recommencer. Et puis, les choses ont fini par s'éclaircir. Il ne manquait plus qu’à les rendre sexy (passion aussi pour les belles slides, c'est plus simple quand on s'avoue les choses).

 

TESTER L’IDEE 

On aimait le projet mais allait-il plaire à d’autres ? Il n'y avait pas 36 manières de le savoir, il fallait le partager. Quand on développe un projet, on a toujours peur de le dévoiler. On a peur que ça ne plaise pas, de se faire piquer ses idées, …  mais, finalement, ça aide à y voir clair et à se donner confiance. Rendez-vous pris avec un coach en entreprenariat pour lui soumettre l’idée. On ne va pas se mentir, en allant vers son cabinet, c’était le stress maximal. La première question tant redoutée a été posée : 

 

 

Il répond : « C’est parfait ! Il n’y a plus qu’à … ».  

La réaction !

 

On a hâte de vous raconter la suite.

Pour en savoir plus sur nos inspirations, suivez-nous sur Instagram @leita.paris 
Et pour découvrir BIBIE, ici