QUAND TU MARCHES VERS TON FUTUR ...

On vous plante rapidement le décor : Chloé, 35 ans, née à Marseille, sans accent (😊), de nombreuses années à travailler pour une maison de luxe. Évidemment, les projets étaient fous et c’était super mais on ne va pas se mentir, c’était bien stressant. Alors un jour, c'est la démission (#bigquit). 

L'objectif était clair : changer de futur professionnel. 

LE ROLLER COASTER ÉMOTIONNEL.

• EUPHORIE, en fêtant le départ. Pintes de pêche (oui, LA boisson !),
• NOSTALGIE, en pensant aux années passées. Pas de pintes de pêche.
• EXCITATION, en pensant à cette nouvelle vie qui commence… enfin presque…

Ah oui ! On a carrément oublié de se parler d’une chose dans l’intro. 
Voilà, la démission est arrivée mais il n'y avait pas de plan défini pour le futur.

LA MISE EN ROUTE DE LA GROSSE MACHINE DE L’INTROSPECTION.

Une fois l’excitation retombée, clairement les questions commencent à se bousculer : bon c'est quoi la suite ? qu'est ce qu'on va pouvoir faire ? dans quel domaine se lancer ? … Enfin, la grosse machine de l’introspection se met en marche et tourne à plein régime. Avouons-le, le moment n’est pas hyper sympa. 

STOP à l’introspection ... il faut savoir se faire plaisir et tenter de nouvelles choses. Et un jour, l’idée de se mettre à la couture fait son chemin.

GO ... les connaissances en couture sont proches de 0 mais la machine à coudre attend dans le placard (c’est un début). Elle n'a jamais servi et pris la poussière depuis 15 ans. Un coup de polish et c’est parti. Aller-retour au marché Saint Pierre pour acheter du tissu. Visionnage d’un bon paquet de tutos pour la mise en route...

PARTEZ .... la confection du premier pantalon commence.

Elle, c'est Rosa ... ma co-workeuse en profonde introspection aussi.

L’ESPOIR.

Bon, le résultat n’est pas parfait. Ça n’a été ni facile, ni rapide. Chaque étape a été précédée d’une recherche de dizaines de tutos sur Youtube et suivie par presque autant de crises de nerfs mais le pantalon est là et surtout c'est si satisfaisant.

Ensuite, tel Picasso, la grande œuvre a pris forme. Les pantalons puis les hauts se sont enchaînés. Puisqu’on est transparent ici, à cette époque, c'était ni du Picasso, ni même du Saint Laurent, mais plutôt l'œuvre d'Edouard aux mains d’argent. Mais en tout cas, les vêtements étaient appréciés et peut être bien qu'un futur plein d'espoir se dessinait …

On a hâte de vous raconter la suite.

Et ça, c'est Chloé.

Pour en connaître plus sur la marque LEITA
Et pour se lancer aussi dans la couture c'est ici le marché Saint Pierre